A tout ce que j'aurais aimé oublier. A tout ce qui a perduré ce malgré une envie des plus tenaces de tout effacer. En hommage, peut être, à ce qui ne disparait pas et ce, malgré de nombreuses tentatives. En hommage à ces sentiments, à ces réminiscences. A mon besoin, presque sadomasochiste,
de vouloir garder intact ce qui écorche, ce qui blesse, ce qui meurtrie. En hommage à... Toi.